Leila, devient volontaire allemande pour l’OFAJ en Sarthe

Arrivée le 18 septembre 2017 à la gare du Mans, Leila Fendrich est volontaire à l’Office franco-allemand pour la jeunesse. Elle restera en Sarthe pendant 10 mois. Une période pendant laquelle elle aura deux lieux de mission : la Maison de l’Europe et Le Mans Université.

Je m’appelle Leila Fendrich, j’ai 22 ans, je suis allemande mais j’ai aussi des racines marocaines. En Allemagne, j’ai étudié les langues et la littérature romane. Pendant ma licence je me suis aussi intéressée à l’histoire. A l’avenir, j’aimerais bien devenir journaliste.

Pendant mon volontariat avec l’Office franco-allemand pour la jeunesse (OFAJ), j’aurais des missions à la Maison de l’Europe et à Le Mans Université, au département d’allemand et au service des Relations Internationales. A la Maison de l’Europe en particulier, je m’occuperai de la coopération franco-allemande dans le cadre d’un projet qui vise à rapproche les élèves des deux pays. A l’Université, j’aiderai à accueillir les étudiants internationaux et à faciliter leurs démarches. Aussi, j’accompagnerai un projet de théâtre en allemand pour motiver les étudiants à pratiquer la langue de Goethe.

En tant que volontaire avec l’OFAJ, le terme “franco-allemand” a une signification profonde pour moi. Ce volontariat n’est pas seulement une occasion pour moi de vivre à l’étranger, c’est la possibilité de vivre et d’acquérir de nouvelles compétences via cette expérience professionnelle. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai décidé de ne pas faire un Erasmus en France pendant mes études, mais un stage.

Depuis que je suis petite, j’ai passé presque toutes mes vacances en France, j’ai donc une liaison profonde avec ce pays. Je dirais même que la France n’est plus un pays étranger pour moi, elle fait partie de mon histoire. Aussi, comme j’ai grandi en Europe, je suis attachée à cette union de pays qui, selon moi, a beaucoup facilité la vie des citoyens européens. J’espère que les pays européens resteront unis encore longtemps, je n’imagine pas le contraire. A l’avenir, je voudrais travailler dans la coopération franco-allemande. D’ailleurs, à la Maison de l’Europe, je peux déjà commencer à travailler dans ce domaine que je trouve très intéressant et important.

Article publié le 09/10/2017